Mais l'actualité, et vous me permettrez cette nouvelle parenthèse, c'est encore et toujours le marasme de nos ainés en terres australes. Ces effrontés du bulbe continuent de façonner, par leur cynisme et leur dédain, l'image d'un hexagone depuis longtemps en ballotage défavorable. Nous avons l'impression d'avoir une "farce de bette à carde" devant nous, vous savez, ce genre de plat dont la simple odeur vous provoque une rupture d'a(i)névrisme. Même avec du sel ou du poivre, ce plat reste indigeste. Peut-être vaudrait-il mieux que nous allions nous faire cuire un œuf alors, sale fils de poule! Oh rage, Oh désespoir! Qu'il est loin le siècle des Lumières, période durant laquelle le pronom, le verbe et le complément avaient d'autres vertus que celles de déclarer les pratiques non tolérées par la papauté et d'ébruiter les métiers suspicieux et transversaux exercés par notre mère.
Et bien, à défaut d'obtenir la taupe, on aurait préféré le top… mais c'était sans compter sur l'agonie des nouveaux mutins en proie à des revendications sociales alors qu'ils n'ont certainement jamais lus les "Misérables". Ils étaient, selon les organisateurs, 23 personnes, selon d'autres sources, 65 millions… 65 millions de personnes à vouloir mettre fin à cette mascarade, à tirer leur rideau et regarder en boucle une rediffusion du Bigdil, seule solution peut-être d'avoir une goutte de miel dans un litre de plomb…
La prochaine fois, on parlera de foot… et pas de fous…
Le FC Tricolore